Une technique très ancienne mais toujours nouvelle
L’Art de la Mozaique
Beryl, une mosaïste installée à
Las Terrenas
Armée d’un coupe-verre, de pinces, de colle et de pâtes, Beryl, mosaïste installée à Las Terrenas depuis de nombreuses années, donne vie à des figures géométriques, des fleurs, des visages, des animaux qui éblouissent par leurs combinaisons de couleurs et de formes…
Dès son plus jeune âge, Wicked Beryl, comme on l’appelle, a été inspirée par la technique ” trencadi ” de Gaudi et a eu la chance de travailler avec Niki de Saint Phalle sur son chef-d’œuvre italien, le Jardin des Tarots, et en France. C’est rapidement devenu sa façon de s’exprimer artistiquement.
Beryl adapte son art à toutes sortes d’éléments décoratifs tels que panneaux, meubles, sols, colonnes, gattes, fontaines, etc…
La “BATEA”, objet de l’ART
Dans une de ses célèbres ballades, Georges Brassens a chanté,
“car sans talent, un don n’est rien d’autre qu’une sale habitude”.
Béryl la méchante/ Beryl / a sans doute le “don” / et certainement celui de son plus jeune âge / mais elle ne s’en est pas contentée ; très vite ; dès son adolescence / on peut le dire, “sauvage” / Beryl s’est forcée à acquérir le “talent”, et même avec une sorte de férocité, la vocation de comprendre, d’apprendre les “techniques” d’expression visuelle, de présentation, de représentation des formes et des couleurs. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Nous ne retracerons pas ici son parcours après trois années d’études à l’Institut Supérieur des Arts Appliqués (ISAA) de Paris … il serait difficile, en effet, aussi multiforme qu’il ait été, à l’affût des opportunités, des rencontres et des métissages … tant qu’on aurait pu se tromper, le sentir aussi bien qu’un dilettante délirant.
Les arts de la mode, les mannequins, la coupe, la couture, avec un Zuli Bet …
Les costumes de la scène Hip Hop avec un Jean François Duroure, de la scène classique avec une Manon Landowski ….
Arts de la teinture avec l’apprentissage du “Batik” sur le même lieu en Indonésie : de l’étude du “Sanganer” sous l’égide de Krishna Riboud … de la pratique de la sérigraphie … des arts de l’expression “formelle” au Colombia College de Chicago.
Et … Formation exigeante dans la pratique de la sculpture céramique, comme peau, comme formes d’emballage avec Nikki de Saint Phalle au “Jardin des Tarots” de Garaviccio en Toscane et en France, mosaïque de décoration urbaine avec Wabbé à Choisi le Roi.
Beryl a été partout, on pourrait dire tout ce qu’elle a pu accomplir dans sa quête pour forcer son talent, pour devenir une artiste en fait.
C’est Nikki de Saint Phalle, cet artiste multiforme et accompli, avec une personnalité aussi frappante que le fer rouge, qui lui a dit à propos de l’artiste “qu’il était comme un tambour qui ne résonnait vraiment que lorsqu’il était frappé par une tensión”.
Et voici Béryl, un être en tension, et en fait un personnage assez formidable, dans lequel tout résonne profondément et s’amplifie, jusqu’à l’explosion du bonheur.
N’était-il pas “naturel” pour elle, dans le pays où elle vit aujourd’hui, de s’emparer de cette expression esthétique la plus quotidienne, la “BATEA”.
Il fallait qu’elle comprenne et intègre la fonction et le message.
Elle l’a. Non seulement compris, appris, mais repris dans la lignée de son propre “expressionnisme”.